24 heures de la vie d’une femme
d’après Stefan Zweig, mise en scène Marion Bierry
Tournées 2008-2012
170 représentations
2008
Paris (F) – Le Petit Montparnasse
Paris (F) – Théâtre Montparnasse
2009
Le Vésinet (F) – Centre des Arts et Loisirs
Nancy (F) – Salle Poirel
Val de Reuil (F) – Théâtre des Chalands
St-Germain-en-Laye (F) –
Théâtre Alexandre Dumas
Boulogne-Billancourt (F) –
Théâtre de L’Ouest Parisien
Cosne-sur-Loire (F) – Salle des Fêtes
Miramas (F) – Théâtre de la Colonne
Bienne (CH) – Théâtre Palace
Morges (CH) – Théâtre de Beausobre
Neuchâtel (CH) – Théâtre du Passage
Vevey (CH) – Théâtre municipal
Avignon (F) – Salle Benoît XII
St-Raphaël (F) – Palais des Congrès
Monaco (F) – Théâtre Princesse Grace
Ste-Maxime (F) – Carré Léon Gaumont
Neuilly (F) – Théâtre Le Village
2010
Lyon (F) – Théâtre de la Tête d’Or
2011
Orgeval (F) – Salle St-Rémy
Cologny (CH) – Fondation Bodmer
2012
Angles (F) – Théâtre municipal
Stefan Zweig n’est-il que l’écrivain désuet d’un monde englouti, ou demeure-t-il aujourd’hui un humaniste, un psychologue aigu, un témoin palpitant, conteur de cette singulière modernité? Les personnages des nouvelles de Zweig détiennent presque tous un secret qui les possède. Ils conservent farouchement, jusqu’aux limites de l’implosion, le noyau incandescent de leur passion, préférant, comme les joueurs de Baudelaire : «… la douleur à la mort et l’enfer au néant.»
Ces hommes et ces femmes, magnétiquement habités, attirent à leur rencontre des explorateurs de l’âme. Un étranger (Robert Bouvier) se remémore l’étonnante confession d’une femme… Et s’il existait une volupté du secret, qu’emporte celui qui le reçoit de celui qui le transmet sans pour autant s’en délivrer…
S’il se dégageait une vapeur subversive de l’art et de la vie venant chatouiller cette norme, que devient le commentaire du geste, la mise à nu des procédés, l’exhibition de l’intime…
Si d’aventure au théâtre, le plaisir des artistes se trouvait d’être simplement traversés par le verbe et de confier, aux inconnus d’un soir, leur très inavouable passion…
Catherine Rich est mue par un mystère. Si Zweig avait pu la connaître, elle aurait aimanté son chemin. Marion Bierry
Revue de presse
«Pureté, émotion, juvénilité inaltérable, Catherine Rich ne déçoit jamais. Robert Bouvier, ne démérite pas.» Le nouvel Observateur
«Un moment de pure émotion.» Le Figaro Magazine
«Catherine Rich, souveraine, unit la raideur distinguée et le romantisme sous-jacent de son personnage. Elle est exactement comme il faut.» Marianne