Eloge de la faiblesse

d’après Alexandre Jollien, mise en scène Charles Tordjman

Tournées 2005-2008

110 représentations

2005
Genève (CH) – Théâtre Le Poche

2006
Lausanne (CH) – Théâtre Vidy E.T.E.
La Chaux-de-Fonds (CH) –
Théâtre Populaire Romand
St-Maurice (CH) – Théâtre du Martolet
Sion (CH) – Théâtre de Valère
Neuchâtel (CH) – Théâtre du Passage
Villars-sur-Glâne (CH) – Nuithonie
Martigny (CH) – L’Alambic
Sierre (CH) – Les Halles de Sierre
Avignon (F) – Théâtre Les Halles

2007
Yverdon (CH) – Théâtre Benno Besson
St-Nazaire (F) – Le Fanal
Lannion (F) – Le Carré magique
Nancy (F) – CDN La Manufacture
Vevey (CH) – Théâtre municipal
Bulle (CH) – CO2
Avenches (CH) – Théâtre du Château
Bâle (CH) – Stadttheater
Romont (CH) – Bicubic

2008
Fos-sur-mer (F) – Centre culturel

Où se déroule cet étrange entretien entre Alexandre et Socrate? Peut-être en Grèce, sur l’agora, parmi la foule innombrable des passants anonymes? Ou, plus modestement, dans un petit dortoir faiblement éclairé, au plus secret de la nuit? Parce qu’il nous oblige à regarder autrement, Éloge de la faiblesse est un texte authentiquement philosophique. L’auteur nous invite à nous interroger sur la distinction entre normal et anormal et aussi, dans un combat joyeux, au dépassement de soi.



Revue de presse

«Alexandre Jollien craignait la façon dont serait représenté le handicap. Il est plus que rassuré, comblé. Si, dans le texte, Jollien évoque ses gestes désordonnés comme ceux d’un chef d’orchestre incohérent, l’acteur n’illustre en rien ces propos. Une légère torsion de la voix suffit à créer l’étrangeté. Longtemps, à peine visible derrière les stries, le corps de l’acteur (Robert Bouvier, fort en tact) va peu à peu se dévoiler, au fur et à mesure que le texte s’écarte de son cas particulier.» Libération

«Un spectacle aussi délicat qu’intelligent.» Le Temps